Marat

Jean-Paul Marat, médecin, passionné de sciences, est marqué très tôt par la pensée de Jean-Jacques Rousseau. La Révolution est pour lui l’occasion d’exprimer ses idées et il ne s’en privera pas !

Son journal L’ami du peuple, publié dès septembre 1789, sera la voix d’une Révolution sans pitié pour ses ennemis, adepte de la violence pour faire triompher ses idées.

Député, président du Club des Jacobins, partisan zélé de la Terreur, il sera le fer de lance de la lutte contre les Girondins avec le soutien du peuple. Malgré son charisme, son extrémisme lui coûtera la vie. Le 13 juillet 1793, il est assassiné dans son bain par Charlotte Corday.